L’huître, une perle pour votre santé
Pour faire simple : tous les besoins vitaminiques, tous les acides aminés sont réunis dans les huîtres. Sont aussi largement présents, les sels minéraux, les oligo-éléments, les oméga 3 et de nombreuses vitamines. Ainsi l’huître contient la totalité des minéraux et oligo-éléments nécessaires au bon fonctionnement physiologique.
C’est donc un aliment de tout premier ordre en raison de ses apports nutritifs exceptionnels mais rares dans le reste de l’alimentation, comme les précieux acides aminés, indispensables à la santé ou les, si recherchés, omégas 3 (EPA et DHA).
L’Huître, pour palier aux carences nutritionnelles
L’huître est naturellement riche en :
Vitamines : B1-B2-B3-B9-B12 – D3 – A – E – et dans une moindre mesure en vitamine C (l’apport en vitamine C du jus de citron qui l’accompagne souvent est parfaitement négligeable). La consommation de l’huître avec le jus de citron a aussi le défaut de détruire presque immédiatement l’essentiel des ressources en vitamine E, contrairement à la consommation nature ou avec le vinaigre souvent préféré au citron par les gourmets (et les nutritionnistes) en raison de son acidité plus faible.
Oligo-éléments, citons-en quelques-uns :
Fer (5,8 mg / 100 g) : Indispensable en cas d’anémie et précieux allié des femmes, il permet d’apporter l’oxygène aux cellules.
Sélénium (0,06 mg / 100 g) : Puissant anti-oxydant, il favorise l’élimination des métaux lourds, il stimule notre immunité et est, en outre, un anti-vieillissant, stimulant les hormones thyroïdiennes. Le sélénium est indiqué dans certaines pathologies lourdes comme le cancer. Il a, en outre, une importante action sur la peau et la vue.
Cuivre : anti-inflammatoire, utile en cas de problèmes infectieux, il active plus de 100 enzymes.
Et enfin, il est à noter que les huîtres sont la meilleure source de :
Zinc (6,5 mg / 100 g) : Fondamentale dans la régulation hormonale, il est présent dans plus de 200 enzymes. Cet excellent anti-oxydant est indispensable dans tous les problèmes de peau et s’avère nécessaire au bon fonctionnement des sens en stimulant le goût, l’ouïe, la vue et l’odorat. Indispensable à la maturation sexuelle et présent en grande quantité dans la prostate de l’homme, le zinc stimule ainsi la production de testostérone. Les effets aphrodisiaques de l’huître tant vantés par Casanova –et d’autres- ne sont donc pas une légende !
Enfin, l’huître est très riche en protéines 6g/100g
et pauvre en calories (70 kcal voire 57kcal / 100 g), en graisses et en cholestérol.
Elle est connue pour sa teneur record en iode (0,06 mg / 100 g), mais contient aussi un intéressant taux de manganèse (1 mg / 100 g). Il faut ajouter à cette liste d’autres oligo-éléments et minéraux tels que le calcium, le magnésium, le potassium et le fluor…
Au jeu des comparaisons l’huître est grande gagnante, pour 100 gr d’huîtres on comptera environ 90 milligrammes de Zinc en comparaison un poids égal de viande, tel que le foie de veau pourtant fort riche, ne totalisera que 9 milligrammes.
Pour 6 huîtres soit un total de 84g de chair on enregistrera 76 milligramme de zinc alors qu’un même poids de bœuf ne sera pourvu que de 4,6 milligramme.
La consommation d’Huîtres : la meilleure des ordonnances
Ainsi, de par leur richesse en minéraux et autres éléments nutritifs dont leur forte teneur en sélénium et en zinc ralentissant la chute de l’immunité, les huîtres sont recommandées pour les convalescents , les personnes âgées, les femmes enceintes (tout en étant très vigilante) et…tous les gourmets qui souhaitent conserver une bonne santé.
Ainsi, consommer des huîtres deux fois par semaine vous amènera votre comptant d’oligo-éléments, de minéraux et de vitamines et, si vous souhaitez maigrir sans carences l’huître est à inclure impérativement à vos repas. Si vous souhaitez profiter pleinement de tous les bienfaits des huîtres sachez qu’il est préférable de les croquer et bien les mâcher.
Ainsi, en invitant l’huître deux fois par semaine à votre table – ou plus, si vous en êtes gourmand – vous êtes certain que votre fatigue s’envolera, votre tonus reviendra et vos carences disparaîtront !
D’après un article du blog: HOME NATURO
Les bigorneaux
Le bigorneau comme tous les fruits de mer, est un aliment pauvre en lipides et en calories. En revanche, les bigorneaux représentent une source de fer (13 mg pour 100 g) et de magnésium non négligeables. Ils contiennent également de la vitamine B12 et du sodium. En bref, un bon cocktail de vitamines et de minéraux
Les moules
Les moules sont riches en protéines (20 g pour 100 g) mais contiennent peu de lipides et de glucides (3 g).
Ce sont des trésors de bienfaits : elles figurent parmi les aliments les plus riches en calcium, magnésium, fer, zinc et sélénium. De plus, elles apportent vitamines B8, B12 et E qui en tant qu’antianémiques, participent au maintien en bon état de la peau et des cellules nerveuses.
Les coques
La coque particulièrement riche en phosphore, fer et zinc, aidera à combattre la fatigue et renforcera les performances intellectuelles, physiques et les défenses immunitaires.
Elle contient pour 100 g :
130 mg de calcium (ANC des adultes : 900 mg), 68 mg de magnésium (ANC des adultes 360 mg) et 26 mg de fer (ANC des adultes 9 mg).
100 g de chair (soit environ une quinzaine de coques) contiennent :
– 11,3 g de protéines
– 0g de glucides (traces)
– 0,3 g de lipides
pour un total de 48 KCalories
Les palourdes
La palourde est l’un des coquillages les plus énergétiques.
Elle est particulièrement riche en fer : 14 mg aux 100 g (ANC des adultes 9 à 16 mg) et en vitamines B12 : 25 microgrammes aux 100 g (ANC des adultes : 2,4 microgrammes).
100 g de chair (soit une trentaine de palourdes) représentent :
– 15,6 g de protéines
– 1,5 g de glucides
– 0,5 g de lipides
pour un total de 76,6 Kcalories.
D’après article du C N C